Beschreibung
Le Burundi a besoin de stimuler les investisseurs étrangers pour quils apportent non seulement les capitaux nécessaires à lexploitation des opportunités existantes, mais également les technologies et les compétences inexistantes. La faiblesse de lépargne intérieure oblige le pays de recourir à lendettement intérieur et extérieur pour investir. Des mesures dincitations ont été mises en place mais leur effet sur la stimulation des investissements étrangers reste faible. Le Burundi devrait analyser limpact des exonérations accordées sur la croissance économique, la création demploi et les recettes fiscales payées par les bénéficiaires des exonérations, et ainsi orienter lesdites exonérations en fonction des secteurs prioritaires. Les résultats de notre recherche ont permis de montrer que le Burundi na pas de ressources non seulement pour faire face aux besoins de fonctionnement mais également pour réaliser les investissements en infrastructures. En plus, il a été observé que les mesures fiscales et administratives ont des effets sur la stimulation des investisseurs locaux mais peu deffet sur la stimulation des investisseurs étrangers.
Autorenporträt
Antoine NIYUNGEKO est un Consultant. Il dirige un cabinet d'audit et de formation ELAN CONSULT. Il a réalisé plusieurs missions d'audit auprès des grandes institutions comme la Banque Centrale BRB,la REGIDESO, la SIP,etc. Il a formé plusieurs cadres des différentes organisations comme l'OBR,l'ONPR,RNP,SMART, Ecobank,SOSUMO,INSS,REGIDESO,BGF, CECAD.